Eau Ionisée Alcaline et Equilibre Acido-Basique

« Vous n’êtes ni trop gros, ni trop fatigué,
ni trop stressé mais peut être simplement trop acide »

«Longtemps utilisée par les naturothérapeutes, la notion d’équilibre acide-base est devenue un nouveau centre d’intérêt pour les milieux scientifiques. Elle a récemment fait l’objet de plusieurs publications dans des revues prestigieuses (…) parus en Angleterre, en Allemagne et aux États-Unis, qui attestent des bienfaits de la prise en compte de cet équilibre dans le traitement des affections chroniques, des douleurs, de la fatigue, du surpoids et du vieillissement prématuré. »

Christopher VASEY, naturopathe – Gérer votre équilibre acido-basique – p.25-28

« Lorsque le terrain s’acidifie, l’organisme peut tomber malade de trois manières différentes. La première est liée à l’activité des enzymes. Ceux-ci sont les « petits ouvriers » à la base de toutes transformations biochimiques qui ont lieu dans le corps et dont dépend le bon fonctionnement des organes. Or les enzymes ne peuvent travailler correctement que dans un environnement au pH bien défini. Dans le cas contraire, leur activité est perturbée ou doit même s’interrompre complètement (…) Les maladies s’installent au fur et à mesure que des enzymes de plus en plus nombreux sont perturbés dans leur activité par l’acidification du terrain.

La deuxième manière de tomber malade est due à l’agressivité des acides présents en surnombre dans les tissus. En effet, avant d’être neutralisés par des bases, ils irriguent les organismes avec lesquels ils sont en contact. Il en résulte des inflammations, parfois très douloureuses, mais aussi des lésions ou la sclérose des tissus. Cela concerne avant tout les organes chargés d’éliminer les acides forts, comme la peau et les reins. Une grande partie des eczémas, urticaires, démangeaisons et rougeurs de la peau est due à l’irritation causée par l’acidité excessive de la sueur. Les endroits les plus atteints sont évidemment aussi ceux où la sueur stagne : sous les aisselles, derrière les genou, sous le bracelet de la montre, ou, pour les bébés sous les langes (érythème fessier des nourrissons). Lorsque c’est l’urine qui est trop chargée en acides, les mictions sont douloureuses, les voies urinaires « brûlent », s’enflamment vite (urétrites) ou s’infectent (cystites). Invisible à nos yeux, mais pouvant être ressentie très nettement par les personnes concernées, l’agression des acides provoque des douleurs articulaires (arthrites), des nerfs (névrites) et des intestins (entérites, colites, brûlures anales). Les tissus étant fragilisés par l’acidité, une infection microbienne ou virale peut facilement surajouter aux troubles déjà mentionnées, étant donnée que les lésions des muqueuses – respiratoires par exemple – laissent aisément les microbes pénétrer dans les tissus et s’y multiplier. Ceci d’autant plus que le système immunitaire peut lui aussi être amoindri par l’action des acides.

La troisième cause de souffrance par l’action des acides est due au fait que toute personne qui s’acidifie se déminéralise inévitablement, puisque le corps doit céder des minéraux basiques pour neutraliser les acides. La déminéralisation peut être importante et toucher n’importe quel organe car des minéraux basiques se trouvent dans tous les tissus.

Les troubles de déminéralisation les plus connus touchent le squelette et les dents. Les os se décalcifient, perdent leur résistance et leur souplesse, si bien qu’ils se brisent trop facilement (fracture spontanée du col de fémur), perdent de leur densité (ostéoporose), s’enflamment aux niveau des articulations (rhumatismes), rongent les disques intervertébraux (sciatique), etc. Les dents se fragilisent aussi en se déminéralisant. Elles deviennent sensibles aux aliments froids ou chauds, se fissurent, s’effritent ou se carient facilement.

La fragilisation par déminéralisation affaiblit les cheveux qui deviennent ternes et tombent trop abondamment ; les ongles se dédoublent et cassent au moindre choc ; la peau se dessèche, se fissure ou se crevasse ; les gencives se déforment, deviennent sensibles et saignent. (…)

Aussi variés et différents qu’ils puisent apparaître, ces troubles peuvent être soignés par un traitement unique : LA DESACIDIFICATION DU TERRAIN »